Johanne Seymour – Vanités

Kate McDougall a pris congé de la SQ pour adopter Élisabeth, la jeune schizophrène qu’elle a rencontrée lors de sa dernière enquête. Elle ne demeure pas non plus insensible à Sylvio Branchini, maintenant veuf. Malgré tout, ces heureux développements ne lui éviteront pas d’avoir à lutter contre ses démons. Paul Trudel, devenu un bon ami, lui demande son avis sur une série d’attaques contre des membres du corps policier dont l’auteur, surnommé l’Artiste, laisse derrière lui des esquisses au fusain. Qui est cet homme qui a énucléé un agent de la SQ et lui a, de surcroît, tatoué le fond de l’orbite ? Que représentent ces trois rangées de trois points noirs équidistants et parfaitement alignés ? Quand le sergent Timmins, un ami de Trudel retraité de la SQ, disparaît à son tour, Kate n’hésite pas à reprendre son poste. Elle finit par saisir que les lieux des agressions forment une spirale qui converge vers le poste de Brome-Perkins, mais il est déjà trop tard. Paul Trudel a disparu. Kate et son équipe vont-ils retrouver leur collègue sain et sauf ?